Glossary & Slang in Surfing

If you want to learn how to surf, you need to start immersing yourself in the language as well as the water. After all, surfing is a lifestyle, not just a sport, and every subculture has its lingo. Surfer slang is probably one of the most recognizable and can be found all over the world, wherever the waves are close.

Naturally, before you end up at surf camp, not knowing any of the terms, you can check out our glossary and learn some of the most well-known surf terms below.

Maneuver for experienced surfers consisting of gaining enough speed, using the wave as a springboard and jumping over the lip.

It is a spot where the waves break on sandbanks, so they do not break regularly and in identical places. These are generally short waves.

Term translated from English to designate the (surf) board.

The bottom-turn is a maneuver that is often performed at the start of a wave just after the take-off. It’s a turn at the bottom of the wave allowing you to go up towards the shoulder, where there is the most power.

The carve maneuver (or carving) is a turn on the rail of the board, allowing you to get closer to the foam, an area where the wave still has power to offer.

We trigger a cut back when the wave loses power. We will then make a rounded turn towards the foam until we meet it and head back in the natural direction of the wave.
If a surfer does not just go in the natural direction but does a sort of roller on the foam or the lip, he then performs a “roundhouse” cut back.

Fin located under and at the rear of the board to avoid sliding sideways (like a skimboard).

It is a wave that rolls out to the right when looking at the beach from the ocean. In opposition to the left.

This is the part of the wave about to break. The area where there is the most power, and where the surfer should position himself.

It’s when there is no semblance of a wave on the body of water, the literal translation is “flat” so it’s when the body of water is completely flat, when it looks like a lake.

It is a maneuver which consists of passing a long section by sliding above the lip.

C’est une vague qui déroule vers la gauche lorsqu’on regarde la plage depuis l’océan. En opposition aux droites.

Terme couramment employé pour désigner la surface des vagues semblable à de l’huile, sans clapot, sans une ride. Lorsque les vagues sont glassy, la glisse est plus fluide, plus agréable et la session s’annonce parfaite. 

Vous êtes goofy si vous surfez avec votre pied droit devant. Dans ce cas, fixez votre leash au pied gauche (pied arrière).

L’inside c’est la dernière section de la vague, celle qui casse plus au bord, par connexion avec la section outside ou par reforme.

Le leash est le cordon de sécurité qui relie le surfeur à sa planche, pour éviter de la perdre en cas de chute. Il peut être de différentes longueurs et diamètres, pour s’adapter à toutes les tailles de planches.

La lèvre, c’est la partie la plus haute qui s’abat lorsque la vague déferle. Plus elle est épaisse, plus la vague sera puissante.

Lorsqu’un surfeur a fini d’évoluer sur sa vague, il doit retourner là où celles-ci commencent à déferler: au line up.  C’est la zone située derrière la barre, là où les surfeurs attendent leur tour pour reprendre une vague.

Le longboard est une planche de surf épaisse et très longue : mesurant plus de 9 pieds (2,75 m). Ce surf est particulièrement recommandé l’été et/ou lorsque les vagues sont petites et molles, pour de longues glisses.

Fins de vagues faites d’écumes, arrivant sur le bord de la plage après avoir déferlés. Typologie de vagues idéales pour apprendre le surf en toute sécurité.

On parle de noseride ou noseriding, lorsqu’un surfeur glisse sur la vague, en ayant les pieds sur l’avant de la planche (le “nose”). Cette manoeuvre s’effectue essentiellement en longboard.  

Un vent est dit “offshore” (aussi appelé vent de terre), lorsqu’il souffle de la terre vers la mer. Il est particulièrement apprécié des surfeurs car il vient creuser les vagues jusqu’à créer, suivant les spots, des tubes. Généralement, quand le vent est offshore, il lisse la surface des vagues à en devenir “glassy”.

Un vent est dit “onshore” (aussi appelé vent de mer), lorsqu’il souffle de la mer vers la terre. Il a tendance à aplatir les vagues et créer du clapot. Moins favorable pour la pratique du surf.

L’outline correspond à la silhouette d’une planche de surf, vue de dessus, et détermine son comportement sur la vague. C’est une combinaison entre la longueur, largeur, le positionnement du wide point (le point le plus large) et la forme du tail. Les principales outlines sont : le fish, shortboard, évolutive, mini malibu, longboard…  

L’outside désigne la première section de la vague, celle qui casse généralement au fond.

Élément souvent en EVA, qui se colle à l’arrière de la planche, pour éviter au surfeur de glisser.

La période, c’est le temps qui sépare 2 vagues consécutives. Elle est indiquée sur les prévisions météorologiques à côté de la taille des vagues, et s’exprime en secondes. Plus la période est élevée, plus les vagues seront puissantes et rapides.

Zone optimale pour prendre la vague. Généralement là où la pente est la plus raide.

Sur ce type de spot, les vagues déferlent en s’enroulant autour d’une pointe ou d’un cap. Généralement grâce à un fond rocheux, mais parfois sableux.

Le surf et le bodyboard sont bien connus pour être des sports libres, cependant tous les surfeurs doivent connaître les règles de priorités pour conserver une bonne entente à l’eau. Les objectifs sont bien d’éviter les accidents et de respecter les vagues de chacun. Bien entendu, la règle la plus importante est celle du savoir-vivre et de la courtoisie

Planche de surf avec 4 dérives. 

Les rails sont les côtés de votre planche de surf. Ils ont un rôle crucial, car ils viennent se planter dans l’eau lors d’une courbe serrée. C’est le point d’accroche de votre surf ! La forme du rail fait varier la flottabilité, la maniabilité et la nervosité de votre planche.

Sur ces spots, les vagues sont régulières, souvent longues et souvent tubulaires. Ce sont les récifs qui provoquent le déferlement des vagues.

Vous êtes régular si vous surfez avec le pied gauche devant. Dans ce cas, fixez votre leash au pied droit (pied arrière). 

La courbe longitudinale (vue de côté) de votre planche est appelée « rocker ». Elle influe beaucoup sur le comportement du surf à plat, sur le rail et en courbe. Pour l’évaluer, mesurez la courbe formée par votre planche par rapport à une surface plane.

> Faible rocker : idéal pour des courbes longues et régulières et pour surfer à grande vitesse. Néanmoins, ce type de planche est moins maniable et “plante” facilement.
> Rocker important :le signe d’une planche plus lente, adaptée au surf dans des vagues creuses et puissantes

Au cours d’un roller, le surfeur va venir “frapper” la lèvre avec sa planche, à l’endroit le plus critique de la vague. En sortant de cette manoeuvre, si elle est bien exécutée, le gain de vitesse est assez important.

Lorsqu’une vague ne déroule pas de manière régulière et continue, elle déroule par sections. Elle “casse” à différents endroits en même temps, ce qui empêche le surfeur d’évoluer sur toute la vague.

On parle de série lorsque les vagues arrivent par groupe. Généralement 6 à 7 vagues consécutives.

Le shorebreak désigne les vagues qui cassent en bord de plage. Il peut être très violent. C’est pourquoi nous déconseillons aux débutants ne connaissant pas bien la mer d’apprendre le surf dans ce type de vagues ! 

Le shortboard est une planche de surf étroite, courte et fine. De par ses dimensions, elle est très réactive permettant de générer de la vitesse, faire de longues courbes, ou encore tenter des tricks.

Avec son faible volume, passer la barre et faire des canards est beaucoup plus simple qu’avec une planche de surf en mousse. En revanche, la rame est plus difficile, c’est pourquoi elle est réservée aux surfeurs maîtrisant au minimum le take off et le bottom turn.

Vent qui est parallèle à la plage. 

Planche de surf avec une seule dérive. On retrouve ce montage, le plus souvent, sous les longboards.

Terme anglais pour désigner la houle. Mouvement de l’océan formant des ondes dont les crêtes s’arrondissent sans déferler.

Le tail (ou la queue en anglais) est utilisé pour désigner l’arrière de la planche. Il peut être de différente formes, ayant chacune une incidence sur le type de vagues surfées, la vitesse et la maniabilité. 

Le take off qui signifie “décollage” en anglais, est la manoeuvre de base consistant à partir sur la vague et se mettre debout. C’est l’étape clé pour commencer à surfer, suivre la vague et enchaîner les courbes.

Planche de surf avec trois dérives. On retrouve ce montage, le plus souvent, sous la majorité des planches de surf: shortboards, mousses, évolutives, mini malibu…

Lorsqu’une vague est suffisamment creuse, et que le surfeur arrive à se placer sous la lèvre, on parle alors de “tube”. C’est l’une des manœuvres les plus difficiles à exécuter, et qui procure une sensation unique. Les surfeurs sont en quête du tube parfait.  Aussi appelé barrel, tunnel, …

Planche de surf avec deux dérives. On retrouve ce montage, le plus souvent, sous les fishs.

C’est la cire ou paraffine à appliquer avant chaque session sur le pont (le dessus) de la planche. Elle permet au surfeur de profiter pleinement de sa session, sans avoir une savonnette sous les pieds. Il faut la choisir suivant la température de l’eau. Préférez ainsi une wax moelleuse lorsque l’eau est froide et une wax plus dure dans les eaux tropicales et chaudes.

On parle de zone d’impact, là ou la lèvre de la vague, vient “trancher” la surface de l’eau, t’elle une lame. Généralement plusieurs fois de suite. Une zone que tous les surfeurs redoutent, et d’où il faut s’échapper au plus vite.